Hommage à Jordi Barre

Il faisait beau, la tramontane rafraichissait l’atmosphère, tous les Argelésiens amoureux du Racou et ceux y vivent, amis de Jordi Barre étaient présents…L’inauguration de l’avenue Jordi Barre qui mène à ce Racou que Jordi a tant chéri et si bien chanté était empreinte d’émotion.
Les chants des Cantaïres, les sardanes du Foment de la Sardane, les interprétations de la cobla Tres Vents et l’œuvre réalisée pour cette occasion furent autant d’hommages rendus à cet Argelésien, chantre de la culture catalane. A cette occasion, j’ai tenu à prononcer une allocution, en Français et en Catalan. Jordi le méritait bien.

Discours en Français 
Discours en Catalan

Notre intercommunalité a enfin son siège

C’est en présence de Ségolène Neuville, secrétaire d’état chargée des personnes handicapées et de la lutte de l’exclusion, de Josiane Chevalier, préfète des Pyrénées-Orientales, de Carole Delga, présidente du conseil régional de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées et d’Hermeline Malherbe, présidente du conseil départemental des Pyrénées-Orientales et, bien sûr, de Pierre Aylagas, député et président de la communauté de communes Albères - Côte Vermeille -Illibéris que s’est déroulée l’inauguration du nouveau siège de la communauté.

Voici le discours que j’ai prononcé à cette occasion.

Discours de l'inauguration de la CDC

Avec les « forces vives… »

Depuis quelques jours, j’ai pris contact avec ceux que l’on a coutume de désigner sous le nom de « forces vives » d’Argelès-sur-Mer.
Par forces vives, j’entends les femmes et les hommes qui, au travers d’associations, s’impliquent dans la vie de la cité, sont facteurs de cohésion sociale et favorisent au quotidien les rencontres entre les Argelésiens, quels que soient leur âge ou leur milieu.
Bien sûr, je connais, et depuis fort longtemps, la plupart d’entre eux puisque j’ai été et que je reste un acteur de la vie associative. Mais il m’a semblé normal d’aller vers eux en effectuant le premier pas et en présentant l’action que je mènerai avec mon équipe municipale. Toutes ces rencontres ont lieu avec les élus et les chefs de services concernés de la mairie.
Ainsi, j’ai réuni samedi les délégués quartiers, ce rouage essentiel au bon fonctionnement de la citoyenneté argelésienne. Puis, je vais échanger dans les jours qui viennent avec les présidents et responsables d’associations sportives, culturelles, patrimoniales et à vocation sociales.
J’étais ce matin avec les responsables du monde combattant dont on connait l’action dans la transmission de la mémoire. Je serai demain à la réunion mensuelle des chefs d’entreprise du parc d’activités.
C’est ainsi que je conçois mon rôle de maire : sur le terrain et au plus près de ceux qui s’engagent pour faire avancer Argelès-sur-Mer.

27 mars : Inauguration du beffroi campanaire

Hasard du calendrier ou heureuse coïncidence ? A vous de choisir… mais ma toute première inauguration a été celle du beffroi campanaire de l’église Notre-Dame-del-Prat le dimanche de Pâques, lendemain de mon élection de maire d’Argelès-sur-Mer. J’y vois un heureux présage.

Bien des maires n’ont pas eu l’honneur d’inaugurer la rénovation d’un bâtiment aussi chargé d’histoire qu’est Notre-Dame-del-Prat.
Les cloches rythment la vie du village depuis des siècles. Elles sonnaient le tocsin lors des invasions, appelaient aux cérémonies, annonçaient les baptêmes, les mariages, égrenaient les heures…
Au-delà des croyances de chacun, l’église d’un village n’est pas qu’un simple lieu de culte. C’est un lieu où s’est organisée depuis des siècles la vie de la cité, la vie commerciale et citoyenne. Un lieu qui, Argelès, a été défendu courageusement. Un lieu qui a rassemblé les villageois lors des guerres, lors des épidémies. Voici le discours que j’ai prononcé à cette occasion.

 Discours de l'inauguration du beffroi campanaire.pdf