Il y a des traditions auxquelles il ne faut pas déroger. Parce qu’elles
sont inscrites dans la culture locale, parce qu’elles participent à
cette démarche citoyenne que mes prédécesseurs ont engagée et que je
poursuis, parce qu’elles s’intègrent pleinement dans ce dialogue
permanent que je veux instaurer entre les Argelésiens et leurs élus.
Parmi
ces traditions, il y a celles des réunions de secteurs qui se
dérouleront à la plage les 7,14 et 20 juin à 18h30, salle Poiraud, à
côté de l’hôtel de police. Ces rencontres permettent un débat direct
entre citoyens, élus et techniciens. A mes yeux, elles sont essentielles
à la cohésion de notre ville.
Pour 2017, nous réfléchissons à un
nouveau format pour ces réunions, un format qui tienne compte de
l’évolution urbanistique de la commune et des quartiers en plein
développement comme Taxo et Charlemagne.
D’urbanisme, il en sera
question le lundi 6 juin à 18h salle Waldeck-Rousseau avec la
présentation à la population du futur Plan Local d’Urbanisme que le
conseil municipal doit approuver d’ici la fin de l’année. Le débat est
ouvert ; ne manquez pas de venir l’enrichir.
Ces rendez-vous citoyens
seront complétés par l’accueil des nouveaux Argelésiens le mercredi 8
juin à l’espace Jules Pams à Valmy. Cette rencontre facilite
l’intégration de ceux qui ont fait le bon choix d’Argelès-sur-Mer pour
venir y travailler ou prendre leur retraite. Ce rendez-vous est
l’occasion de leur présenter les multiples facettes de notre ville et de
notre riche vie associative.
Enfin, le 15 juin, nous remettrons les
Trophées des Sports aux athlètes qui ont porté haut et loin les couleurs
d’Argelès-sur-Mer. A travers eux, ce sont tous les clubs sportifs et le
rôle irremplaçable qu’ils jouent dans la vie de la cité qui seront mis
en exergue.
jeudi 19 mai 2016
mercredi 4 mai 2016
Nom de la région : oui pour Pyrénées-Méditerranée
La Région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées a lancé une vaste
consultation pour définir son futur nom, celui qui fera qu’elle sera
mieux identifiée au niveau national, européen et hors de notre
continent.
Sur ma proposition, le conseil municipal d’Argelès-sur-Mer a adopté à l’unanimité le nom de Pyrénées-Méditerranée et cette motion a été transmise à Carole Delga, présidente de la région.
Notre nouvelle région est forte de 13 départements. De l’Armagnac dans le Gers à l’Aubrac en Lozère, du haut-Vallespir dans notre département aux Cévennes gardoises, notre nouvelle région est la deuxième la plus étendue de France métropolitaine.
Chaque département est légitimement fier de son identité, de sa culture, des femmes et des hommes célèbres qui en ont forgé l’histoire
A ce nouveau territoire, il ne faut pas simplement un nom : il faut une appellation forte, lisible et compréhensible en France et surtout à l’étranger, qui devienne une véritable marque dans laquelle nous nous reconnaissons et nous serons reconnus.
Ce qui doit nous rassembler aujourd’hui est bien plus essentiel que les querelles entre les territoires qui ont jalonné notre passé commun.
A mes yeux, Pyrénées-Méditerranée s’impose. Parce que cette « mare nostrum » a été depuis l’Antiquité un lien entre les peuples du sud de l’Europe ; parce que notre chaîne montagneuse, loin d’être un obstacle, a toujours été un trait d’union depuis les Albères jusqu’aux Pyrénées-Centrales.
Enfin, parce que notre département peut se reconnaître pleinement dans cette dénomination.
Sur ma proposition, le conseil municipal d’Argelès-sur-Mer a adopté à l’unanimité le nom de Pyrénées-Méditerranée et cette motion a été transmise à Carole Delga, présidente de la région.
Notre nouvelle région est forte de 13 départements. De l’Armagnac dans le Gers à l’Aubrac en Lozère, du haut-Vallespir dans notre département aux Cévennes gardoises, notre nouvelle région est la deuxième la plus étendue de France métropolitaine.
Chaque département est légitimement fier de son identité, de sa culture, des femmes et des hommes célèbres qui en ont forgé l’histoire
A ce nouveau territoire, il ne faut pas simplement un nom : il faut une appellation forte, lisible et compréhensible en France et surtout à l’étranger, qui devienne une véritable marque dans laquelle nous nous reconnaissons et nous serons reconnus.
Ce qui doit nous rassembler aujourd’hui est bien plus essentiel que les querelles entre les territoires qui ont jalonné notre passé commun.
A mes yeux, Pyrénées-Méditerranée s’impose. Parce que cette « mare nostrum » a été depuis l’Antiquité un lien entre les peuples du sud de l’Europe ; parce que notre chaîne montagneuse, loin d’être un obstacle, a toujours été un trait d’union depuis les Albères jusqu’aux Pyrénées-Centrales.
Enfin, parce que notre département peut se reconnaître pleinement dans cette dénomination.
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