vendredi 16 septembre 2016

Un communiqué de la majorité municipale

Nous avons décidé collectivement de répondre aux allégations de Charles Campigna, parues le 7 septembre dans l'Indépendant. Parce que nous ne pouvons plus laisser propager des contre-vérités comme c’est le cas depuis des mois.
A 3 reprises depuis octobre 2015 (Indépendant des 11 octobre 2015, 22 février 2016, 7 septembre 2016), l’ancien élu réécrit l’histoire à bon compte, accumulant mensonges et élucubrations et serinant la sempiternelle même chanson.
Il convient de rétablir la vérité.
Le processus de succession entre Pierre Aylagas et Antoine Parra a fait l’objet de nombreux débats au sein de la majorité municipale en 2013 et 2014. 14 adjoints et conseillers, réélus en 2014, peuvent en témoigner.
Il assistait à ces débats ne s’est jamais exprimé.
A de multiples reprises, à la même époque, Pierre Aylagas a présenté ce processus aux militants du parti socialiste. Là encore, Charles Campigna n’est jamais intervenu.
Les faits sont têtus et les paroles restent, surtout quand elles sont imprimées.
L’indépendant du 1er février 2014, relatant le lancement de la campagne, titre en citant Pierre Aylagas : « Transmettre le flambeau à Parra ».
En page 3 du journal de campagne, tiré à 9000 exemplaires et distribué dans toutes les boites aux lettres en mars 2014, Pierre Aylagas explique : « Avec mes colistiers, c’est tout naturellement autour de la personnalité d’Antoine Parra que nous nous sommes rassemblés et accordés. »
Pourquoi donc, deux ans après l’élection municipale, travestir la vérité ? Pourquoi tant de rancœur ?  Tant d’aigreur contre une équipe municipale qui lui a permis d’exercer 2 mandats ?
Pendant que Charles Campigna s’égosille en pure perte et se complaît à entretenir la division, Argelès-sur-Mer continue d’avancer et continuera d’avancer. Ne lui en déplaise.
La majorité municipale, elle, met en œuvre le programme pour lequel plus de 57% des Argelésiens l’ont élue.
Sans lui.
Signataires : Antoine Parra, Jean-Patrice Gautier, Marina Parra-Joly, Agnès Aloujes-Roque, Marc Séverac, Marguerite Pujades-Roca, Jean-François Bey, Isabelle Moreschi, Renaud Boisvert, Sylviane Favier-Ambrosini, Danilo Pillon, Valérie Reimeringer, Muriel Saignol, Frédéric Donnet, Cathy Arsant, Pierre Aylagas, André Diaz-Gonzalez, Bernard Ducassy, Marie-Christine Bodinier, Bernard Rieu, Anne Fuentes, Cathy Flouttard et Antoine Casanovas.

vendredi 2 septembre 2016

Vive la rentrée !

Deux mille trois-cent-vingt-sept élèves des écoles maternelles et primaires, du collège des Albères et du lycée Christian Bourquin ont effectué leur rentrée scolaire le vendredi 1er septembre. C’est près du quart de la population de la ville qui a donc repris le chemin des établissements scolaires à Argelès-sur-Mer
La frénésie du plein été -avec les tensions qui l’accompagnent immanquablement et que certains ont tenté d’exploiter en s’égosillant au travers des médias locaux – est derrière nous. La saison touristique a connu une bonne fréquentation ; la consommation, elle, est directement liée à la l’environnement économique national. Il nous faudra un peu de temps pour l’évaluer précisément.
Cet été a été marqué par le sanglant attentat de Nice. Les services municipaux et tous les acteurs de la sécurité présents à Argelès-sur-Mer ont dû s’adapter à cette nouvelle donne. Certains, malheureusement, ont voulu faire comme si Nice n’avait pas existé. Ma responsabilité de maire, la responsabilité de l’équipe municipale est de garantir la sécurité des événements qui se déroulent sur le domaine public. Oui, il a fallu refuser des animations proposées par des privés parce que nous ne pouvions pas les sécuriser. C’est un choix que j’assume pleinement.
Ma responsabilité de maire est de tenir le cap que nous nous sommes fixé. Ce cap, c’est l’intérêt majeur d’Argelès-sur-Mer. Je le tiendrai sans me laisser distraire par quelques vociférations qui n’ont d’autre finalité que de nuire dans le but inavoué d’arrière-pensées politiques et d’ambitions personnelles.
L’été tire doucement à sa fin et Argelès-sur-Mer, va, petit à petit, retrouver le visage d’une ville de 10 000 habitants. Place donc aux projets municipaux et notamment, le 16 septembre à 18h30 salle Buisson, celui concernant le centre-ville.
Venez nombreux. Votre avis nous intéresse.